Législatives : guerre au nom de l’OTAN ou repli nationaliste ?
Lors du second tour de l’élection législative dans la 6e circonscription, la Gauche fait face à un dilemme cornélien.
Ce qui entrave l’unité de la classe ouvrière, entrave le progrès de l’humanité.
Lors du second tour de l’élection législative dans la 6e circonscription, la Gauche fait face à un dilemme cornélien.
Les classes populaires sont neutralisées par le nationalisme et Emmanuel Macron réélu sans grand entrain obtient tout de même un appel d’air, dans un contexte où la Guerre en Ukraine appelle pourtant à un sursaut populaire en faveur du pacifisme et de l’internationalisme.
Le dilemme qui se présente à la Gauche lors de ce second tour de l’élection présidentielle est palpable. Il faut pouvoir trancher dans un sens ou autre, en ayant conscience des implications à moyen terme.
Dans la vallée de l’Arve, l’extrême droite rassemble la majorité des suffrages exprimées lors du 1er tour de l’élection présidentielle.
Pour en savoir plus sur le lancement du parti d’Éric Zemmour en Haute-Savoie
Avec Marine Le Pen d’un côté, Eric Zemmour de l’autre, l’extrême droite a franchit un cap pour former un mouvement qui historiquement a pris le nom de fascisme.
Il y a quelques semaines, plusieurs affiches de soutien à la candidature d’Eric Zemmour à l’élection présidentielle de 2022 fleurissaient à Bonneville. Un témoin de l’avancée concrète de ce qu’Olivier Faure, premier secrétaire du Parti Socialiste, a dénoncé vendredi 8 octobre comme du fascisme devant le conseil national du parti.
A la fin juin 1936, Jacques Doriot, élu dissident du PCF de la ville de Saint-Denis en région parisienne, fonde le Parti Populaire Français (PPF). Progressivement évincé du PCF du fait d’orientations droitières, Jacques Doriot finit par fonder son propre parti, pure décalque du fascisme italien et du nazisme allemand dans la France des années […]